Mitsurugi Heishiro [Terminé]

~-°HRP°-~

Nom:
Frank

Age:
17 ans

Votre personnage favori?
Ils se valent tous je pense, à part Qweena peut être qui est insupportable^^’. Allé en faisant un effort je dirais : Squall, Zell, Sepiroth, Seifer, Balthier et Kefka.

Comment avez vous connu le forum?
C’est Siegfried Schtauffen qui m’en a parlé^^.

Votre Niveau RP selon vous?
Comme mon fidèle ami Siegfried Schtauffen, j’ai environ 6 ans d’expérience RP, et j’ai eu quelque forums RP à gérés. Mes posts peuvent allés de la quinzaine sans prétention ni inspiration, à la centaine passée.

Combien de jour par semaine serez vous présent ?
Etant donné que j’ai eu quelque ennuis avec la justice (ne vous en faite pas vous n’accueillez pas Saddam Hussein non plus^^’), je suis plus ou moins consigné, mais je viens au moins une fois par jour le soir.

Avez vous lus le règlement?
Non Chef Satoubara

~-°Présentation°-~

-Fiche d'Identité-

Nom:
Heishiro

Prénom:
Mitsurugi

Age:
29 ans

Taille:
171cm

Poids:
65kg

Sexe:
gros avec des poils… (Pardon il fallait que je la fasse celle là^^’) masculin

Armes Utilisées:
deux katana du nom de Korefuji et Shishi-Oh.

Korefuji
Spoiler:
Shishi-Oh
Spoiler:

Groupe:
civil normal

Rang :
Rônin solitaire

Tenue 1
Spoiler:
Tenue 2
Spoiler:

Description physique:
Mitsurugi est un guerrier bourru à la mâchoire carrée abordant souvent une barbe peu entretenue et aux yeux perçant d’un noir d’ébène envoûtant.
Son visage rude et ferme reflète une dure vie de guerrier solitaire vouée à mené bataille jusqu’au dernier souffle de vie. Des années d’entraînement intensif entre deux combats à mort, et une volonté de fer on suffit à Mitsurugi pour se forger un puissant corps de muscle et de vigueur. Endurant bien au-delà de ce qu’un simple samouraï pourrait accomplir, ses prouesses au combat sont légendaires, et l’éclat étincelant de force qui luit dans ses yeux en ai la preuve irréfutable. De par son état de rônin solitaire, Mitsurugi n’est pas concerné par les choses futiles, ainsi il s’est toujours vêtu de la même manière en général. Dans son ballotin de voyage, il possède deux tenues, une armure resplendissante portant les marques de toute une existence de bataille acharnée. Cette armure ce constitue d’épaulettes, d’un épais plastron, de protège flanc ornés de kanji rouge (on dit que c’est le sang de ses plus valeureux adversaires mais rien n’a été prouvé.) et de poignet et de chevillière d’acier. Il porte avec l’armure un pantalon ample de toile foncée et des waraji modestement confectionnées avec des cordes de paille de riz. Sa seconde tenue est plus légère. Constituée de bandage de protection autour de la taille, elle laisse apparaître à la vue de tout son torse superbement musclé comme taillé dans un roc. Il porte un pantalon de tissu finement décoré de fil d’or et de nacre dessinant des flammes ardentes montants jusqu'à ses genoux. Il porte à la taille par-dessus les bandages, un assortiment raffiné de rubans de vives couleurs et des gants aussi protecteur que souple pour ne pas entraver le maniement du sabre. Pour finir, Mitsurugi porte souvent dans cette tenue, de simples sandales de bois. Le samouraï a pour habitude d’attaché ses longs cheveux d’un noir de jaie avec une petite ficelle colorée afin de ne pas le gêner lorsqu’il doit combattre ou porter son attention à son environnement. Plutôt petit et léger pour un homme si bien battit, il n’en est pas moins un valeureux guerrier dont la force physique et la maîtrise du sabre n’a d’égal que son courage. Ici et là on peut constater les douloureuses marques des incessante guerres qui rythme sa vie de voyageur solitaire, notamment la large cicatrice qui trône sur le haut de son pectoral droit, et remontant jusqu'à sa gorge.

Description mentale:
Mitsurugi est un combattant solitaire et peu enclin aux longues discutions. Sachant remarquablement bien différencier le bien du mal en quelque instants, il n’hésite pas à tiré ses katana de leur fourreau lorsqu’il estime que cela s’avère nécessaire. Ecoutant plus son cœur et sa brûlante hardiesse que quelques belles paroles, il constitue un combattant farouche et courageux. Possédant un sens inné de la bataille, il fait preuve de beaucoup de tactique et d’une extraordinaire intelligence au combat, ne reculant rarement devant quelque chose, il s’affiche ainsi comme quelqu'un sur lequel on peut compter en toute confiance. Néanmoins son côté revêche ne lui vaut pas la sympathie de tout le monde, et bien nombreuses sont les personnes qui préfèrent dire de lui qu’il est violent plutôt que gentil. D’une volonté de fer à toute épreuve, et n’ayant cessé de se renforcer au fil des innombrables batailles qu’il dut mener, il possède un grand sens de la déduction et sais mieux que quiconque dire les chose en face, non sans une certaine once de provocation. Il sais aussi usé de sa logique lorsqu’il le faut mais admet facilement qu’il préfère faire parlé ses sabres aux lames acérés plutôt que de tergiverser pendant des heures. Mitsurugi ne manque pas de courage mais ne s’en vante pas, puisque pour lui son attitude est tout ce qui à de plus naturel, tout le monde sera d’accord pour dire de lui que c’est l’un des êtres les plus déterminé jamais vu.

Histoire:
Né un 8 Juin de l’ère Edo d’un fermier japonais et d’une tisserande muette, Mitsurugi eu une enfance tiraillée entre les travaux à la ferme et les brigands vagabonds qui venaient régulièrement violenter ses trois jeunes frères. Passionné d’histoire légendaire et de mythe contant les fabuleux combat de samouraï contre les forces du mal, il passait son temps libre à se tailler des sabres dans le bois et à s’exercer a son maniement, si bien qu’il devint vite très adroit, faute d’être réellement dangereux avec un simple bout de branche. Le jour de ses dix ans, alors que sa mère morte dans le dénuement le plus total, la peste s’abattit sur les contrées verdoyantes de la région natale de Mitsurugi. Ce fut d’abord son plus jeune frère qui en succombât, puis son père fut atteint. Contraint de nourrir sa famille par ses propres moyens, il en advint à survivre par rapines et vols plus ou moins organisés. Jusqu’au jour où les brigands revinrent à la ferme, tentant une nouvelle fois de causer du tort au père affaiblie de Mitsurugi, celui-ci n’écoutant que son courage s’attaquât à eux. Etonné de voir un si jeune enfant si habile au maniement d’un katana de bois, ils ne purent empêcher le jeune Mitsurugi de s’emparer d’un des vrais sabres que détenaient les bandits. Ce fut les premiers adversaires réels qu’il eu, et qu’il tua avec une facilité effrayante...

Peu de temps après, ses deux autres frères moururent dans la souffrance de la maladie tandis que son père, rendant son dernier souffle confia une maigre bourse de pièces d’or à son seul fils indemne, avec pour ordre de s’acheter un véritable katana, et de servir le royaume du mieux qu’il pourra. Arrivé au village le plus proche, il s’acheta un sabre comme l’avait dit son père, non sans faire face au insultes des passants en voyant un enfant ayant l’air si endurci, voire mauvais…Suivant sa logique et survivant de ses propres moyens, Mitsurugi prit les armes et se fit rapidement un nom parmi les plus grands guerriers et seigneurs du Japon, pour certains il était un démon, pour d'autres un gardien en ces temps troublés... mais l'homme ne s'embarrassait pas de telles choses et ne vivait que pour combattre. Il se lançait dans toutes les batailles du Japon et en sortait avec les honneurs, jusqu'à ce qu'apparaisse la plus grande menace pour un homme qui ne vivait que par l'épée : le fusil de Tanegashima.

Convaincu que les bâtons de feu des européens colonisateurs n’étaient que de simples outils de mort face aux authentiques compagnons d’arme fidèles et raffinés qu’était les katana, Mitsurugi se lança en quête d'une épée plus puissante encore. Entre temps, gagnant bien sa vie grâce aux diverses missions remplies avec succès, il se fit forger un katana par l’un des forgerons les plus mythiques du Japon, Korefuji. Korefuji ne délivrait ses katana que si l’acheteur le battait en duel à mort avec sa propre arme, autant dire que jamais il ne vendit de sabre malgré leur remarquable qualité. Korefuji était outre un duelliste hors pair, un grand savant dont les connaissance de la force vitale était reconnu de part tout le royaume, et faisant l’objet de nombreuse pérégrinations jusqu'à son magasin. Après un combat acharné, Mitsurugi lui porta un coup d’estoc au cœur, ainsi s’éteint la vie de Korefuji, et commença sa légende, Mitsurugi choisis d’appelé son nouveau katana Korefuji en souvenir de ce grand forgeron.

Quelque temps plus tard, qu'il entendit parler de Soul Edge, une arme légendaire. Il tenta de trouver cette arme mais n'avait pas la moindre piste. Après un long voyage, il pensa avoir acquis suffisamment d'expérience pour défaire le fusil par lui-même et en défia un sous les yeux de son seigneur... Il devait par la force de ses seuls réflexes, déviés une balle de plomb tiré par un fusil situé à vingt-cinq mètres, mais il fut vaincu puis déshonoré. Son seigneur lui confisqua son katana, Korefuji, et le chassa. Blessé dans son corps et dans son honneur, Mitsurugi se procura une nouvelle épée, Shishi-Oh, et repartit se perfectionner toujours dans l'optique de vaincre le fusil.

Après avoir prit part à plusieurs batailles desquelles il sortit toujours victorieux, il entendit une nouvelle rumeur provenant de l'Ouest, celle-ci parlait d'un Chevalier Azur qui massacrait les populations locales à l'aide d'une épée invincible. Il n'en fallut pas plus à Mitsurugi pour repartir vers le continent. S'il battait cet adversaire exceptionnel et s'emparait de cette fameuse épée, il serait en mesure de battre n'importe quel fusil. Arrivé en Italie, il rencontrât une jeune vagabonde belle comme une fleur selon ses dires. N’ayant pas goûter à la compagnie féminine depuis longtemps, il s’enquit de la comblée au lit. Cependant, remarquant que quelque chose n’allé pas, Mitsurugi tira son sabre et se mit en garde, la jeune femme prit alors sa véritable apparence de démon sorti du fond des enfers ! Conscient que les légendes qu’il entendait lorsqu’il était petit était vrai, il défit le furieux démon au terme d’une lutte dévastatrice. Ayant acquis un pouvoir et un talent qu’aucun autre samouraï ne pouvait obtenir, et conscient de cela, il repartit aussi vite à la recherche du Chevalier Azur.

Mais encore une fois, Mitsurugi ne trouva aucun indice, quand il arriva à destination le chevalier avait déjà été vaincu selon les rumeurs. D'autres disaient que la guerre faisait rage à l'Est, il décida donc de retourner chez lui au plus vite. Finalement, le seul adversaire digne d'intérêt qu'il avait put trouver était une mystérieuse femme ninja, Taki. Alors qu'il passait la frontière de Xiwei, en Chine, un inconnu qu'il avait sauvé dans une ruelle lui remit un mystérieux fragment de métal en guise de remerciement. C'était un fragment de Soul Edge. Quelques temps plus tard, Mitsurugi fut attaqué par des ninja habillés comme cette Taki à qui il avait eu affaire lors de ses précédents voyages. Mais ils furent rapidement défaits. Ses pensées se tournèrent vers sa terre natale. A son retour au Japon, il prêta à nouveau main forte au clan Murakami sur le point d'être exterminé.

Il affronta les armées ennemies comme un démon et vint même à bout de ceux qui utilisaient des armes à feu, mais cela ne représentait plus rien à ses yeux. Au terme du combat, il fut félicité par le chef du clan lui même, mais celui-ci avait compris que le jeune samouraï était tourmenté par une autre cause que celle du clan. Mitsurugi cherchait un adversaire puissant, un challenge à relever afin qu'il puisse se prouver sa valeur. Le chef du clan lui apprit alors que les rumeurs au sujet d'un chevalier en armure azur se répandaient de nouveau en Europe... le lendemain, Mitsurugi se trouvait déjà sur un bateau en direction du continent.

Au cours de son voyage, Mitsurugi croisa bien des guerriers mais il était devenu bien trop fort pour trouver un adversaire à la hauteur. Il en avait acquis la certitude : seul le Chevalier Azur lui proposerait un véritable challenge. Mais il ne trouvait toujours pas la moindre piste, jusqu'au jour où son fragment de Soul Edge le quitta pour rejoindre l'Ostrheinsburg. Mitsurugi le suivit, prêt à croiser le fer avec le propriétaire de Soul Edge. Le rônin en tremblait de joie.

Arrivé par un détour en Espagne, il distingua étrangement une aura maléfique d’un pirate sanguinaire accosté au port avec son galion, l’Adrian. Il s’agissait de Cervantès de Léon. Cervantès avait eu pendant une période en sa possession un fragment de Soul Edge, qui lui avait permis d’obtenir ses terrifiants pouvoir, voilà pourquoi Mitsurugi, sans ce l’expliquer avait ressenti que le mal émanait de cet homme. Il engagea alors un duel avec lui espérant gagné son fragment de Soul Edge et devenir lui aussi plus puissant, mais il dut essuiyer une défaite cuisante face à l’ôte des forces mystiques de Soul Edge, tandis que Inferno, fragment de Soul Edge personnifié lui apparut. Il lui apprit que Soul Edge avait un pendant sacré bien plus puisant encore, Soul Calibur, en la possession du Chevalier Azur qui avait disparue de la surface de la Terre depuis des mois déjà. Puis Inferno, qui avait été autrefois purifié par Taki accepta de venir en aide au samouraï, et il lui transmit ses pouvoirs surnaturels. Ne pouvant supporter longtemps le surplus d’énergie qui s’amassait dans son corps, Mitsurugi laissa éclater sa nouvelle puissance, déclanchant une grande tempête d’éclair et de vent tourbillonnant.

Sans pouvoir se contrôler, il créât un faille spatio temporelle et fut absorber dans une nouvelle dimension. A son réveil, il se sentait fort bien, plus puisant que jamais, mais se situé dans une impasse de rue inconnue à ses yeux. Il ressenti néanmoins comme un appel, une étrange puissance qui l’attirait inexorablement, pensant qu’il s’agissait de Soul Calibur, il se mit à la recherche encore une fois du Chevalier Azur...

Test RP

---Pour ce test RP (que je ne reprendrais pas pour en faire mon 1er post RP), j'ai décidé de vous conter un combat entre Mitsurugi et un autre personnage de l'univers Soul Calibur, Yunsung. Ceux qui connaisse le jeu doivent voir de qui je parle. Bonne lecture^^.---

Mitsurugi arpentait les rues de Neji, sans jamais perdre de vue les grands murs qui protégeaient la ville des invasions. Sans doute, c’était la sécurité, mais pour un guerrier baroudeur comme lui ce n’était guère plus plaisant que les barreaux d’une cage. Les passants affairés, spectacle obligés d’une ville commerciales comme Neji, s’entassé dans devant leurs étals tous aussi aguicheurs les un que les autres. Mitsurugi avaient remarqué ça et là quelques tours de passe-passe marchands pour faire vendre plus que de raison à un nilgaut un produit dont il n’avait en réalité nullement besoin. De chaque côté les commerçants tentaient de rivalisé avec son concurrent par presque tout les moyens possibles et imaginables, certains criaient aussi fort que des bœufs pour essayer d’attiré la clientèle, tandis que d’autre misaient tout sur la présentation séduisante d’un produit particulier, mais le samouraï ne faisait attention à aucun de ces boutiques véritablement. Il perçut tout proche la clameur d’une rixe. Des cris, le bruit cinglant d’une lame tirée de son fourreau, et du fer contre le fer, tandis que des côtes de mailles volaient en éclats dans un son tonitruant tout à fait caractéristique. Peut-être un guet-apens destiné à attirer quelque voyageur isolé pour lui ouvrir le cran et s’emparer de sa bourse. Mitsurugi savait être assez indifférent pour s’attendre au pire et déjouer quelque piège idiot comme ils en étaient monnaie courante dans des villes à fort trafic. Le fracas mourut, comme les combattants sans doute. Il observa que personne n’avait réagi outre mesure autour de lui, un simple vol, ou une dispute qui c’était mal finie comme on en voyait légion se dit-il…D’une certaine façons, il en fut soulagé, car rien en Neji, pour ne pas dire dans le royaume entier n’était tout à fait normal désormais. Bientôt on ne pourrait même pu se fier à un bon vieux katana pestait t’il souvent, surtout avec l’arrivé des bâtons de feu des européens…A en croire les récits des voyageurs venus s’abriter dans la ville commerçante fortifiée, Neji n’était pas la seule cité livrée ainsi au chaos. Mitsurugi ramena ses pensées au présent, cela faisait prés de trente-six heures qu’il marchait sans s’arrêter. Il cherchait tout d’abords une auberge sur et un bon repas, ensuite il irait au plus vite au port de Kashima pour prendre un bateau à destination du continent. Plus que jamais il était déterminé à retrouver ce Chevalier Azur et à se mesurer a lui pour lui dérober Soul Edge. Il se détournât des rues principales bondées de marchand braillard, là ou un étrange personnage recouvert de la tête au pied d’un plaid vétuste de tissu épais et grisâtre. Au fur et à mesure qu’il s’éloignait du brouhaha les maisons se faisaient plus petites, visiblement plus anciennes. Les rues de plus en plus étroites et finissant souvent en cul de sac n’auguraient rien de bon quant à la réputation de ce quartier. Mitsurugi finit par arriver sur une petite place déserte, pavés sobrement avec un peuplier florissant au centre. Les arcades vieillissantes aux fresques effacées par le temps qui bordaient la place offraient de l’ombre, si précieuse par cette chaleur constata le rônin. Le mystérieux individu soigneusement enveloppé dans sa pelisse contemplait le guerrier, il l’observait. Il avait aperçu un bien beau katana accroché par une solide ceinture de cuir à sa taille. Il devait être un samouraï vagabond se dit-il, mais son arme était si raffiné et semblais être si mortelle que ce vagabond devait avoir beaucoup d’argent. Mitsurugi attarda son regard sur une vitrine poussiéreuse à l’autre bout de la place, la boutique d’un certain Gunzmund de réputation douteuse. Selon la rumeur, derrière la façade soigneusement –qui pour le coup semblait abandonner- du négoce de joaillerie artisanale, d’armes d‘apparat et de volume rares sur les mythes et légendes oubliés, Gunzmund trempait dans la contrebande de chartes falsifiées et autres faux en écriture. Une pensées qui acheva l’idée de Mitsurugi de quitter au plus vite ce quartier avant de s’attiré des ennuies.

Au moment où le rônin s’apprêtait à rebrousser chemin, l’étrange personnage passa à l’attaque. Il se libéra de sa sombre cape et à la vitesse de l’éclair s’abattant sur la surface de la Terre, il mis la main sur le manche du katana de Mitsurugi. De son autre main il lui lanças sa cape au visage, Mitsurugi surprit recula la vue encombrait par l’étoffe. L’ennemi, qui était un jeune homme semblant a peine sortit de l’adolescence, et fort bien bâtit tentât d’asséner un coup de genou dans l’estomac de sa cible, ainsi il n’aurait aucune difficulté à lui dépouillé de son bien tandis qu’il se roulerais par terre de douleur. Mais Mitsurugi, dont l’instinct de survie n’avait pas d’égal bloqua son agresseur, et l’agrippa au poignet avant de le rejeter avec force en arrière. Il se défit de l’emprise de la cape et laissa tomber son regard tranchant sur son agresseur au sol. D’environs la même taille que lui, possédant une musculature avantageuse et des très fins, il possédait surtout un sabre à la ceinture que le guerrier ne manquât pas de remarquer. Vêtu d’une tunique blanche surmontée d’un gilet de tissu fin noir et bleu, les cheveux roux flamboyant à l’astre diurne de jeune homme voyageaient nonchalamment au gré des doues brises de vent. Mitsurugi eu un sourire narquois tandis qu’il posa une main assuré sur le manche de son arme. L’opposant se relevât agilement et fit de même sans prendre la peine de s’épousseter.

Les deux hommes se jaugeaient du regard, l’un était perçant et rude, l’autre était arrogant et moqueur. Au bout de quelques secondes de silence, l’un d’eux ouvrit la bouche.

-« Je m’appelle Hong Yunsung de la Dynastie Li, et toi qui est tu ? »

Mitsurugi répondit par une question qui ne déstabilisât pas Yunsung.

-« Que me veux tu gamin ?

-Ca fait un moment que je te suis, et je me suis dit qu’un imbécile en moins sur cette terre ne serait pas regrettable.

-Allons allons gamin, tu ne va pas me dire qu’avec ta tête d’ange tu me suis uniquement pour me trancher la gorge… »

Yunsung ne répliquât pas.

-« Non, moi je crois plutôt que tu en avait après ça. »

Reprit Mitsurugi en hochant la tête vers son sabre. Yunsung ne réagissait toujours pas, mais le regard entendu qu’il portait à sa cible en disait long. Le rônin leva légèrement le menton et déclara sur un ton de défi:

-« Si tu me bat en combat régulier, je te le donne ! »

Yunsung interloqué de la soudaine paroles de son adversaire hésité, puis son regard se raffermit, il hochât silencieusement la tête et tira son arme. Il aurait très bien pu refuser le défi, partir sans emporter l’objet de son attaque, mais cette histoire avait été en très peu de temps allé trop loin. C’était son honneur qui était en jeu désormais.

Au premier coup d’œil, Mitsurugi discerna une maîtrise du sabre chez son adversaire. Peut-être enfin un ennemi a sa mesure, un de ceux qu’il espérait depuis longtemps afin de pimenter sa vie trop monotone à son goût. Yunsung fit habilement tournoyer son sabre, multipliant les moulinets de poignets et se déplaçant précisément, comme pour exécuter un ballet. Puis il passa à l’attaque, Mitsurugi n’eu aucun mal à stopper nette la lame tranchante qui s’abattait sur son visage rayonnât d’un sourire rare, qu’on ne pouvait voir que lorsqu’il se battait avec passion. Mitsurugi avançât d’abord lentement, puis un peu plus brusquement, balançant sa lame de gauche à droite. Les deux lames se croisèrent si vit que seul un son fut perceptible. Le katana se levât prestement et le sabre de Yunsung manqua sa cible, s’en allant frapper d’en le vide. D’un léger retournement de poignet, Mitsurugi attaquât, obligeant le jeun homme à faire un bond en arrière, ce faisant il avait ramener son arme devant lui pour parer, mais le samouraï vif comme l’éclair s’était déjà reculé pour adopter une position de défense. Contre cette tactique, Yunsung ne put s’empêcher de manquer de patience. Son soudain déferlement d’attaque sembla aussi exagéré qu’inefficace, car Mitsurugi paraissait les contre les unes après les autres sans pour autant bouger d’un centimètre. Alors que les samouraï au service du Seigneur était d’excellents sabreurs, Mitsurugi était lui un bretteur hors pair. Se battant selon une technique ancestrale baptisée Tenpu-Kosai-Ryu Kai, il avait su intelligemment y incorporer ses propres combines pour en faire une discipline d’escrime tout à fait stupéfiante. Reconnu comme l’une des plus vieille technique de combat au katana, le Tenpu-Kosai-Ryu Kai ne comptait en réalité que peu d’adepte, et encore moins de maître en raison de ka précision diabolique qu’elle exigeait dans son exécution. Aussi puissante qu’imprévisible, véloce qu’instable, Mitsurugi avait su a force de volonté et d’entraînement maitriser toute la quintessence de ce qu’il considéré comme un art. Yunsung bondit et tourna sur lui-même, frappant sur le côté, dardant son sabre vers l’avant, et faisant preuve d’une agilité hors du commun. Mais tous les mouvements de Mitsurugi paraissaient infaillibles. Ses gestes suivaient une ligne droite, d’avant en arrière, ou adroit moulinet côtoyer fulgurant retournement de lame, et ses pieds se déplaçaient constamment et méthodiquement afin de conserver à son corps un équilibre parfait. Il attaquait rarement, mais lorsqu’il le faisait, c’était avec une telle vivacité et une telle ardeur que Yunsung était immanquablement obligé de battre en retraite.

-« Tu me déçois gamin, arrête de gesticuler comme ça ! »

Lança le rônin. Ses paroles incitèrent Yunsung à l’offensive et il chargea avec une série de coups droits et balayages. Mais la fine lame de son adversaire se leva en diagonale de gauche à droite, forçant celle du jeune homme à glisser sur le côté. Mitsurugi se jouait littéralement de son ennemi. Yunsung recula pour reprendre son souffle, il fit sauter son arme d’une main à l’autre pour raffermir sa prise. Puis il repassa à l’action, attaquant furieusement de toute part, aussi féroce qu’un prédateur sur sa proie. Faisant allé son sabre en tout sens, il mesurait mieux ses coups cette fois ci, renversent régulièrement ses angles, transformant promptement un grand balayage en une estocade direct pour poussé le samouraï à la faute. Mitsurugi était satisfait de constater que sa petite raillerie avait eu son effet. Il finit par reculer, brandissant toujours aussi précisément Korefuji pour tenir Yunsung en respect. Il renforça ses assauts mais Heishiro continuait de se défendre avec application, quelque instant plus tard, la situation s’inversa de nouveau et ce fut le solitaire qui vit le combat tourner en sa faveur. Il avait conservé son équilibre parfait, se protégeant efficacement tout en s’épuisant le moins possible, le jeune guerrier intrépide devait encore reculer et gagner du temps pour se reposer si il voulait gagner la bataille. Le rônin attaqua a son tour, sa lame semblait se rétractait si rapidement qu’en aurait pu la croire fantomatique, tout les tentatives de parade de Yunsung était voué à l’échec, et il commençait à s’en rendre compte à contre cœur. Il fit soudainement un pas en avant, prêt à frapper son adversaire au torse, mais se renfrogna au dernier moment et bondit comme un félin. Son pied se leva à prés de deux mètres au dessus du sol pour venir s’abattre violemment sur le crâne de Mitsurugi. Surpris du fabuleux jeu de jambes de Yunsung, il recula en grognât de douleur, le jeune homme levât une nouvelle fois sa jambe pour abattre son pied trois fois de suite sur la mâchoire carrée de son ennemi. Un filet de sang coulait désormais des lèvres de Heishiro qui redoublât de rage. Ne s’arrêtant pas là, Yunsung tentât un nouveau et agile coup de pied au visage que Mitsurugi esquiva en s’accroupissant, il pivota sur lui-même, effectua un rapide fauchage de la jambe qui fit s’effondrer Yunsung. Il n’eut pas le temps de se relever que la pointe du katana du combattant était juste au dessus de sa gorge…Il lâchât un soupir blême, s’avouant vaincu.

Bon bon bon,

¤ Avant tout, merci de ton inscription et bienvenu sur FFRP Wink

¤Je ne voit pas de gros défaut a ta fiche de présentation, mis a part le fait qu'aucun lieu connu d'Unatërra ne soit exprimé dans ton histoire...tu sera donc libre de commencer ou bon te semble, mais je souhaiterais une mini-histoire au début de ton premier post qui mettre en scène ton arrivé (comment ? quand ? etc... )

¤Et sinon bah...je sais pas quoi dire d'autre pour le moment, le Rp est bon et l'histoire ben c'est celle de Mitsurugi quoi xD

Ryoth a écrit:: Bon bon bon,

¤ Avant tout, merci de ton inscription et bienvenu sur FFRP

¤Je ne voit pas de gros défaut a ta fiche de présentation, mis a part le fait qu'aucun lieu connu d'Unatërra ne soit exprimé dans ton histoire...tu sera donc libre de commencer ou bon te semble, mais je souhaiterais une mini-histoire au début de ton premier post qui mettre en scène ton arrivé (comment ? quand ? etc... )

-Merci bien.

-T'inquiète pas, si je n'ai rien précisé dans mon histoire (sauf une petite ruelle étroite, donc une ville ou un village a fortiori.), c'est pour commencer en prennant le temps de réfléchir à un endroit qui m'inspirais. Smile

D'accord, je te fait confiance, tu est donc officiellement VALIDE tu peut donc commencer a Rp ou rejoindre un topic existant.

¤N'oublie pas de faire de la pub pour le forum et de ramener des membres, ça te fera gagner des point sur le forum.

¤Voila, bonne aventure Smile

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