Président Rufus, le Retour[PV membre de la Shinra Co.]

L'hélicoptère privée de Rufus faisait un dernier passage au-dessus de la cité toujours pleine de vie malgrés l'heure tardive. Il revenait d'un petit voyage qu'on pourrait qualifier d'éducatif. Après tout, ses plans de trouver de nouvelle forme d'énergie se trouvait bien à être véridique. Il désirait éviter les évènements d'il y a plusieurs années. Toutefois, la recherche se faisait lentement avec tous les ennuies qui se produisaient dans se monde fusionner avec tant d'autre. Par contre, les inconvénients laissaient la place à un avantage. Cela ouvrait beaucoup de voie au dévelloppement de la Shinra, mais aussi un plus grand monde sur lequel Rufus pouvait étendre son pouvoir. Malgrés tous les obstacles, le président de la Shinra gardait sa soif de pouvoir, après tout, rien de mieux qu'une compagnie d'arme ayant sa propre armée pour avoir la possibilité d'accomplir ce geste. La moralité n'avait de place parce que contrairement à un gouvernement, son contrôle était absolu et c'est pourquoi, malgrés tout, que les réacteurs de la cité fonctionnait encore pour le moment, elle seule pouvait fournir l'énergie aux projets.

-Monsieur le Président, nous prenons le couloir d'approche. Nous allons arriver sous peu.

Rufus acquiesça de la tête alors que l'appareil prenait son couloir d'approche vers le toit de la Shinra, là il s'attendait à un accueil d'un membre des Turks ou de cette chère Mlle Moonblade avec qui il avait commencer une relation d'affaire pour le bien de la compagnie, mais aussi parce que la jeune femme lui plaisait bien. Donc, lorsque l'appareil toucha à peine le sol, Rufus en débarqua accompagné de sa panthère Black Nation. L'animal semblait toujours aussi obéissante et Rufus toujours aussi déterminé et ce malgrés l'échec de sa visite. Il allait avoir ce qu'il voulait. Il s'approcha donc de son commité d'accueil.

-Je peux voir que les choses n'ont guère changer depuis mon départ. Je ne vois toujours pas une armée, une force d'élite et une compagnie que rien ne peux vaincre. Qu'avez-vous donc fait en mon absence?

On pouvait aisément décelé le sarcasme dans la voix du président, car ce dernier n'avait de respect que pour lui-même et son rêve.